Description :
Une notable fut, après-guerre, accusée d'avoir assassiné son mari et onze autres personnes de son entourage, suite à des rumeurs qui firent d'elle "l'empoisonneuse du siècle". Marie Besnard n'avoua jamais ces assassinats à l'arsenic. Elle finit par être acquittée après plus de dix années de procès et d'expertises et emporta son secret dans la tombe...
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il y a 4 ans
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merci beaucoup
Merci
Il faut retenir la part très importante des rumeurs qui ont joué dans l’inculpation suivie de l\'arrestation puis dans la mise en détention de Marie Besnard.
Après trois procès qui durent plus de dix ans, Marie Besnard, accusée et menacée de la peine capitale, est libérée en 1954 puis acquittée par la cour d\'assises de la Gironde le 12 décembre 1961.
Les circonstances, le contexte, 1949 : les français veulent oublier la seconde guerre mondiale et tenter de nettoyer l’infamie de la période de l’occupation allemande et de la collaboration avec l’ennemi.
À l’époque, on avait dit « plus jamais ça ».
Mais les règlements de compte sont fréquents et l’État n’est pas populaire. La colère des français est grande et le gouvernement craint des révoltes. Les signes avant-coureurs de mai 68 sont déjà en place.
La solution retenue par les autorités pour apaiser le peuple : agiter un chiffon rouge. C’est une mesure fort appréciée des gens de pouvoir. Pendant qu’on fricote à gauche, on agite un mouchoir à droite en s’exclamant « le scandale est ici ».
Et bien sûr, les « braves gens » n’y voient que du feu.
C’est une pratique honteuse et éculée mais toujours en vigueur de nos jours. Pour ne prendre qu’un seul exemple, regardez ce qui se passe avec ce qu’on nous invite à appeler « la crise sanitaire du covid-19 » et l’instauration des passes-sanitaires, véritable laisser-passer des autorités françaises.
C’est le retour des Ausweis, comme au temps de la collaboration.
La seule différence, c’est qu’à l’époque des Ausweis allemands et de la période du gouvernement de Vichy, c’est qu’à cette période, cela était imposé par un pays ennemi avec qui nous étions en guerre, alors qu’aujourd’hui, la collaboration serait plutôt une collusion avec les laboratoires pharmaceutiques cette fois.
Ce sont les fameux « petits arrangements entre amis ».
L’ennemi serait-il devenu un ennemi intérieur, et dans ce cas, qui est l’ennemi ? Le peuple ou bien le gouvernement, l’État ?
Comme à la grande époque de la collaboration, les journaleux participent de la désinformation de masses, en collaborant à cette mystification, Il n’y a aucune difficulté puisque la presse est à 90 % dans les mains des plus riches.
Vous vous rappelez,…, les petits arrangements entre amis... ?
Les journaleux, les groupes de presse ? Un outil de désinformation massive !
« Celui qui ne connaît pas l’Histoire est condamné à la revivre ». (citation ayant de multiples variantes et de nombreux auteurs).
« C’est quand on voit combien il est facile de remplir des stades payants alors qu’on n’arrive pas à remplir des bibliothèques gratuites, qu’on se dit qu’on est mal barré ». Auteur inconnu.
Et donc, je remercie tout le monde, à commencer par les milieux intellectuels, particulièrement et notoirement silencieux en cette période sombre de notre Histoire, où les masses laborieuses auraient besoin de points de repère, de balises lumineuses, pour continuer à avancer mais un peu moins dans les ténèbres.
Nan vraiment, merci beaucoup, fallait pas.
Le Diable n’a plus rien à faire. L’État se charge de tout.
Belle interprétation de Muriel Robin.
Merci beaucoup BZH.
R É S I S T A N C E.