Loulou est une jeune femme qui ne s'encombre d'aucun préjugé et vit pour l'amour et le plaisir. Ses amis sont nombreux. Elle en a de tous les âges et de toutes les conditions. Elle est présentement la maîtresse en titre du Dr Schön, propriétaire de plusieurs journaux, qui a aidé sa carrière de danseuse en faisant beaucoup parler d'elle. Ce jour-là, Schön fait grise mine en annonçant à Loulou son prochain mariage avec la fille du ministre de l'intérieur.
Gustav Diessl
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Le Dr Mabuse dirige, de l'asile psychiatrique où il est interné, un gang de malfaiteurs et le docteur Baum, directeur de l'établissement, grâce à ses pouvoirs hypnotiques. Le commissaire Karl Lehmann et le bandit repenti Kent parviendront après nombre de rebondissements à démanteler le réseau.
Le film visait à galvaniser le moral des Allemands au cours de la dernière phase de la Seconde Guerre mondiale. Il se fonde sur l'autobiographie de Joachim Nettelbeck, maire de Kolberg, qui avait raconté comment la forteresse de la ville s’était défendue avec succès en 1807 contre les troupes françaises, à la fin de la guerre de la quatrième coalition. Le maire avait réussi à transformer la population locale en une milice efficace et fanatique, malgré le pessimisme des autorités militaires sur place. C’est alors qu’un officier, le comte August von Gneisenau, qui devait devenir le feld-maréchal prussien réformateur que l’on connaît, avait remplacé le commandant militaire et, de concert avec Nettelbeck, avait tout fait pour conserver la ville au roi de Prusse.
Le film retrace la vie et la mort de quatre fantassins allemands sur le front français lors des derniers mois de la Première Guerre mondiale. Un jeune étudiant s'éprend de la cantinière et en fait sa maîtresse. Il sera tué au moment où son ami Karl, en permission, découvre l'infidélité de sa femme. Revenu au front, Karl et trois de ses compagnons se portent volontaires pour une mission au cours de laquelle il est blessé. Il meurt dans une église transformée en hôpital, tandis qu'à ses côtés un ennemi agonisant lui saisit la main en signe de fraternité.