Quand Lili, 26 ans, pauvre, mère isolée de trois enfants, est accusée à tort de mauvais traitements et que les services sociaux lui arrachent ses petits, elle s'effondre. Mais c’est sans compter sur la rencontre lumineuse d’autres femmes. Avec elles, Lili se bat pour reconstruire sa famille.

Les joies et les souffrances de celui qui voulait être le meilleur de sa génération, faire descendre la mode dans la rue et habiller la femme moderne, dans un monde qui change, noyé de fête et d’insouciance. La rencontre de l’un des plus grands couturiers de tous les temps avec les années 70, au cours de laquelle la maison Saint Laurent connaît sa fulgurante ascension.

À l'aube du XXème siècle, dans une maison close à Paris, une prostituée a le visage marqué d'une cicatrice qui lui dessine un sourire tragique. Autour de la femme qui rit, la vie des autres filles s’organise, leurs rivalités, leurs craintes, leurs joies, leurs douleurs... Du monde extérieur, on ne sait rien. La maison est close.

Un soir, Dalva est brusquement retirée du domicile paternel. D'abord révoltée et dans l'incompréhension totale, elle va faire la connaissance de Jayden, un éducateur, et de Samia, une adolescente au fort caractère. Une nouvelle vie semble alors s'offrir à Dalva, celle d'une jeune fille de son âge.

Après «Il faut que je vous parle !», Blanche Gardin, comédienne, auteur et scénariste, revient avec un deuxième spectacle «Je parle toute seule», créé en 2016. Seule sur scène, cette célibataire, désormais quadragénaire, vêtue d'une très jolie robe, parle, parle et parle encore. Elle passe en revue tous les sujets : ses relations aux autres, son célibat sans enfant, la mort, le désir, le bonheur, les terroristes, les régimes, les migrants, le vice. Blanche Gardin manie la provoque et l'humour sous toutes ses formes mais surtout l'humour trash et noir. Et surtout, elle n'est jamais à court de punchlines.

Blanche nous propose son nouveau stand-up, création 2018. Elle n'épargne personne. Même pas ses propres tripes, qu'elle nous livre encore fumantes sur l'autel de l'autodérision.