Cinq personnes sont recrutées par la Société Viking afin de collaborer à la première mission habitée sur Mars. Elles ont été choisies en raison des similarités psychologiques qu’elles partagent avec les cinq astronautes qui se rendront sur la planète rouge. Ces volontaires forment donc une équipe B d'alter ego qui vivront l’aventure en parallèle, en huis clos sur Terre.

Marc Labrèche débarque dans un talk-show décomplexé. Il s’inspire des sujets d’actualité (ou pas) qu’il traite à sa façon. Avec sa grande famille, un band all-star et un public complice, on y retrouve également des sketchs, des parodies et une « télé-réalité ». À eux s’ajoute un invité de l’heure qui s’implique et partage chaque moment.

Marc Labrèche est à la barre de ce talk-show décomplexé avec sa grande famille, un invité, un band all-star et un public complice.

Sarah passe encore de désillusion en désillusion, mais elle devra réaliser que personne ne lui veut vraiment du mal. Tout le monde fait juste son possible pour être heureux. Ce qui urge, c’est de déterminer ce qui la rendra heureuse, elle… Et ce n’est pas nécessairement le plan qu’elle avait imaginé.

Les employés de la clinique sont, en quelque sorte, des superhéros du sexe capables de résoudre les problèmes du commun des mortels à ce niveau; mais ils sont aussi souvent des cordonniers mal chaussés, moins aptes à s’occuper de leurs propres enjeux et vies personnelles. Les patients de la clinique, parfois adorables, parfois lourds et parfois complètement bizarres, viennent nous rappeler qu’une ITSS ne fait pas de discrimination avant d’élire domicile. Riche ou pauvre, d’une culture ou d’une autre, beau ou laid, travailleuse du sexe ou célibataire involontaire, face à l’herpès, nous sommes tous égaux.

Une maison qui a l’air comme les autres, dans une rue comme une autre, a la particularité d’être une maison d’aide et d’hébergement pour femmes violentées. Kenza, Fatou, Gisèle et Valérie s’y sont réfugiées, à l’abri des pressions de leur conjoint. C’est en suivant les efforts quotidiens de ces femmes pour reprendre leur vie en main et se « rebâtir » que la série aborde