La vie et les histoires d’amours heureuses ou contrariées de quelques couples Montmartrois...
Albert Duvaleix
- Home
- Albert Duvaleix
En raison de graves problèmes familiaux, Ren Usagi et sa sœur Mihato, s'enfuient de chez eux. Ils trouvent du travail à la Pension Kuonji en tant que serviteurs de la famille et plus particulièrement des filles de la maisonnée : Shinra, Miyu, et Yume. Mais vivre dans ce manoir ne s'avère pas de tout repos.
Hippolyte Lemoine est un benêt d'une trentaine d'années, naïf à l'esprit enfantin, vivant dans un village de Normandie (Courteville, à 35 km d'Evreux). Lorsque son oncle Célestin meurt, il laisse par testament sa fortune et son auberge (Le Trou Normand) à son neveu Hippolyte, mais à la condition expresse que celui-ci passe son certificat d'études dans un délai d'une année. Pour atteindre son but, il devra déjouer les manigances de sa tante Augustine (belle-sœur et maîtresse du défunt) qui croyait hériter à sa place et cherche à le faire échouer en se servant de sa fille Javotte. Il est soutenu par de nombreux habitants du village, dont le maire, l'instituteur, et surtout la fille de ce dernier, elle aussi institutrice, sous le charme de laquelle Hippolyte va tomber.
L'histoire de Paris, de ses origines à 1955, racontée à de jeunes étudiants par Sacha Guitry, sous forme de «déclaration d'amour lucide». Sont notamment évoqués la première rencontre de Charles VII et d'Agnès Sorel, la création de l'imprimerie sous l'impulsion de Louis XI , le Louvre au temps de François 1er, le vol de la Joconde, la nuit de la Saint Barthélemy, l'assassinat d'Henri III, l'abjuration d'Henri IV, l'embastillement du conseiller Broussel et celui du jeune Voltaire, l'énigme de l'homme au Masque de Fer, les évasions de Latude, les salons littéraires de Mmes Geoffrin et d'Epinay, le règne de Rose Bertin sur la mode 1780, l'agonie de Voltaire et son enterrement à la sauvette, la prise de la Bastille commentée par Beaumarchais, l'exécution de Louis XVI et le procès de Marie-Antoinette, les soirées littéraires au Café Procope, la Commune de Paris, l'affaire Dreyfus, les premières de "Louise" et de "Cyrano de Bergerac", la découverte du vaccin antirabique par Pasteur...
Pierre Servettaz, qui vit à Chamonix aimerait exercer la même profession que son père : guide de haute montagne, mais son père Jean refuse qu'il prenne autant de risques. Il poursuit donc sa formation d'hôtelier et pratique la montagne comme activité de loisir. Un jour, son père part aux Drus où, avec le porteur Georges à la Clarisse, il accompagne un client américain, Bradford Warfield Junior. Un orage éclate pendant l'ascension, mais Warfield insiste pour continuer en rappelant qu'il a payé pour monter au sommet. Ils arrivent sans encombre au sommet, mais au retour, alors que l'orage fait rage, Jean est foudroyé sur une petite terrasse en contrebas. Georges, encore sous le choc, réussit à ramener le client sain et sauf dans la vallée, mais est victime de graves gelures pendant la descente. Une cordée part quelques jours plus tard pour tenter de récupérer le corps. Pierre décide de la rejoindre : accompagné de ses amis, il se lance dans une escalade périlleuse.
Paul Braconnier et sa femme Blandine n'ont qu'une seule idée en tête : trouver le moyen d'assassiner l'autre sans risque. Paul rencontre dans ce but un célèbre avocat qui lui explique comment procéder. Paul tue ensuite sa femme d'un coup de couteau dans le ventre, pendant qu'elle lui verse du poison...
Afin de pouvoir conquerir une comtesse russe, un aventurier mondain fonde un hospice de vieux célibataires pour venir en aide à de riches étrangères frappées par une loi mettant en cause leur résidence en France. "Inventé par Sacha Guitry pour le cinema, écrit Jacques Siclier, ce scenario, prenant en fantaisie certains problèmes qui se posaient à la France de 1939 à propos des émigrés, est magistralement mis en scène avec un rythme constant, une technique souple et élégante et une remarquable direction d'acteurs."
Léon Ménard est un paysan normand des plus matois. Invité chez son oncle Henri, un industriel prospère, par sa cousine Nicole, il déjoue les manœuvres d'une artiste véreuse bien décidée à se faire passer la bague au doigt, et découvre dans le même temps les mauvaises tentations du comte de Bellemont, un châtelain aussi empli de morgue que désespérément ruiné, à l'égard de la dot (confortable) de Nicole. Le comte démasqué se retire avec fracas, entraînant avec lui son fils Didier, que Nicole croit complice des agissements cupides de Bellemont père. Une lettre interceptée par la fidèle gouvernante de la famille ouvre les yeux à Léon quant à la pureté des intentions du jeune homme. Il convainc sans difficulté l'oncle Henri de nommer ce dernier à la tête d'une de ses usines, et les Ménard au grand complet célèbrent peu après les doubles noces de Nicole et Didier, et de Léon et de sa jeune promise Rosine.
Monsieur Richard de Marseille a décidé de léguer toute sa fortune à son cousin Armand Lavarède, à condition que celui-ci fasse le tour du monde avec cinq sous en poche dans un délai de cent jours. Arbitré et surveillé par sir Murlington et par Bouvreuil, un créancier de Lavarède, le voyage est encouragé par Aurette, la ravissante fille de sir Murlington. Le voyage commence par une traversée clandestine sur le Normandie, contrecarrée par Bouvreuil, qui doit partager les vingt-cinq millions avec sir Murlington si Lavarède échoue dans sa tentative.
Deburau triomphe au théâtre quand Marie Duplessis lui fait quitter son foyer. Après quelques jours passés près de sa maîtresse, il revient chez lui : sa femme l'a quitté. Il reste seul avec son fils, apprend que Marie Duplessis lui en préfère un autre, mais il est décidé à l'attendre ; cela durera des années. A son fils qui voudrait le remplacer, il refuse de le faire profiter de son nom. Marie Duplessis revient, mais accompagnée d'un médecin et Deburau ne cherche pas à reprendre leurs relations anciennes. Il tente, sur les conseils du médecin, de reprendre son rôle du théâtre : c'est un échec complet. Deburau laisse son nom à son fils, qui le remplacera désormais.
A Marseille, l'officier Bernadotte présente en 1789 un billet de logement à l'ingénieur Clary, il fait ainsi la rencontre avec Désirée, une des filles de Clary. Cinq ans plus tard, Julie Clary sera courtisée par Joseph Bonaparte, qui n'est pas indifférent au charme de Désirée. Il hésite entre les deux jeunes femmes, aussi les présente à son frère aîné, Napoléon, afin qu'il le conseille. Celui-ci décide que Julie convient mieux au caractère de Joseph, et jure son amour perpétuel à Désirée. Mais bientôt il part pour Paris, où il rencontre Joséphine de Beauharnais.
Adrien Moulinet, encaisseur à la banque Nortier, a inventé un patin à roulettes à moteur. Il fait la connaissance de Jules, journaliste au chômage, qui va l'aider, mais, attaqué et blessé par des gangsters, il est envoyé en convalescence dans une station thermale par son patron, où il fait la connaissance des deux filles du banquier. Il y a là aussi la maîtresse du mari de l'une des deux filles, et un imbroglio sentimental autant que dramatique commence à s'échafauder autour du pauvre employé. Son patron reconnaissant lui offrira finalement une magnifique usine de ...patins à roulettes.
Bienvenue sur le territoire de la joie au grand air. Cette bande de copains plaquent tout et se lancent sur les routes. A l’aide d’un émetteur clandestin, ils clament les gammes de la liberté d’être ici aujourd’hui et ailleurs demain. Ils sont jeunes, ils chantent, ils sont heureux. L’audience de Radio X monte à chaque émission. Les oreilles raffolent de ces chansons entraînantes interprétées à la dérobée en pleine nature au gré des ambiances rencontrées. Chaque soir la chronique du franc parler de Maman Terrine est savoureuse de spontanéité. Ses pastiches de publicité tapant à bras raccourcis sur «La gaine Lotus» (car un des membres de l'équipe règle ainsi ses comptes avec son ancien employeur) ont aussi un rôle dans son succès.