Lancé en septembre 1982, le "Théâtre de Bouvard" est plutôt, à ses débuts, une discussion de comptoir entre Philippe Bouvard et quelques transfuges des "Grosses Têtes". La formule évolue au bout de deux mois vers celle dont on se souvient : une succession de sketches délirants joués par une multitude de jeunes comédiens talentueux. Les émissions sont enregistrées en public, avec un invité célèbre faisant office de "parrain" et qui tire au hasard, dans un panier d'osier, les sujets des sketches.
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Ce feuilleton raconte l'histoire de Catherine Legoix, fille d'un orfèvre sur le Pont au Change à Paris; elle tombe follement amoureuse d'Arnaud de Montsalvy. Cette histoire commence à fin de la guerre de Cent Ans pendant la révolte des Cabochiens qui ont décidé de pendre un Armagnac : Michel de Montsalvy. Il est finalement sauvé par Catherine et son ami Landry. Ceux-ci tentent de le faire évader mais l'entreprise échoue, le comte de Montsalvy est massacré par le boucher Legoix, l'oncle de Catherine. Le père de Catherine est pendu à sa propre enseigne. Catherine, sa mère, son amie Sara et Barnabé se rendent à Bruges car ils sont proscrits à Paris. Catherine y séduit le duc de Bourgogne, Philippe le Bon. Au cours d'un voyage, Catherine trouve un chevalier blessé, c'est le grand médecin du Calife Abou-al-khayr partit en voyage qui le soigne. Ce chevalier est le propre frère de Michel, Catherine en tombe aussitôt amoureuse. Cet amour réciproque est impossible, car Arnaud apprend que Catherine porte le nom de l'assassin de son frère... Tout au long de la série, Catherine tente de le reconquérir au péril de sa propre vie, prête à le poursuivre au bout du monde sans même être sur qu'il l'aime aussi.
Maintenant au service de Richelieu, D'Artagnan part pour Rome en mission secrète. Chemin faisant, il tire d'un mauvais pas Roger de Bussy-Rabutin et les demoiselles qui l'accompagnent. Julie et Marie ne sont pas insensibles au charme du héros, ce qui provoque une algarade entre les deux hommes. D'Artagnan, tombé amoureux de la belle Marie de Rabutin-Chantal qui, malheureusement, ne veut pas épouser une légende, s'en retourne en bataille avec son fidèle Planchet et retrouve un par un tous ses amis mousquetaires.
Le journaliste Max Lefort est en reportage au San Esteban, où se déroule un coup d'état. Il se fait interpeller par l'archéologue Liza Beaumont, qui cherche à sauver une statue précolombienne de 2m 40 offert par l'ancien gouvernement à la France. Tous deux se retrouvent en prison, et le général insurgé cache des diamants dans les yeux de la statue, avant de la rendre à Liza, pour pouvoir accuser la France de vol.
Une féministe est retrouvée assassinée à son domicile. Il n’en fallait pas moins pour que les G.A.R.C.E.S. mettent leur nez dans l’affaire ! Pour arrêter le criminel, le commissaire Bancau devra collaborer avec des femmes déterminées aux ressources insoupçonnées. Un grand moment d’humour qui fleure bon le féminisme des années 70.
L'été est là, les touristes sont présents dans le village. Mais pas de répits pour les pompiers volontaires de Tredos. Francis recrute un nouveau pompier, Gunther qui connaitra, comme tous ces autres camarades, un très gros feu de forêt déclenché volontairement par un homme qui va « jouer » tout au long de l'été avec les volontaires de Tredos. Une nuit qui s'annonce très dure car le vent qui souffle ne va pas aider les pompiers, le feu est aux portes du village d'Alric et d'un camping touristique
En mai-juin 1940, l'Allemagne déclara la guerre à la France. La plus grande débâcle que subit la France, vu à travers le témoignage de Pierre Caillol soldat deuxième classe
Goût de l'analyse scientifique, sens de l’humour et élégance, tels sont les caractéristiques qui, selon l'imaginaire policier, font d'un homme un bon enquêteur. De Monsieur Lecoq de Emile Gaboriau à Sherlock Holmes de Conan Doyle, en passant par Nick Carter, six des détectives parmi les plus célèbres du genre, prennent vie.
Jules Maigret n’est pas qu’un simple enquêteur du 36, quai des orfèvres. Ce commissaire, fumeur de pipe et amateur de bonne cuisine, sait mieux que quiconque s’imprégner d’une atmosphère, d’un lieu et des humeurs des protagonistes pour remonter la piste du crime. Sans violence, le limier au célèbre chapeau et pardessus trouve toujours la solution, et bien souvent par l’aveu-même des assassins.
Jules Maigret n’est pas qu’un simple enquêteur du 36, quai des orfèvres. Ce commissaire, fumeur de pipe et amateur de bonne cuisine, sait mieux que quiconque s’imprégner d’une atmosphère, d’un lieu et des humeurs des protagonistes pour remonter la piste du crime. Sans violence, le limier au célèbre chapeau et pardessus trouve toujours la solution, et bien souvent par l’aveu-même des assassins.
Jacques Alvarez inspecteur des impôts, 50 ans, qui ressent soudainement le besoin de faire une analyse à la suite de troubles inexpliqués de comportement ; sur le point de faire inculper un directeur de société, Jacques Alvarez laisse tout tomber et prend le train pour Lyon ou il s'en ferme dans une chambre d'hôtel ; de retour à Paris, il entreprend une psychanalyse avec Legrang et met peu à peu à jour ses souvenirs d'enfance : son père manuel qui quitte sa famille lorsque Jacques a 3 ans, impliqué dans un scandale financier, la période de guerre avec son frère aine, Gérard sa mère et son ami, jean, résistant qu'il admirait et pour lequel il ressent un sentiment de culpabilité intense a causé d'une lettre perdue ; la reconstitution de l'histoire personnelle sous l'effet de la psychanalyse est menée comme une enquête policière.
Dans une petite ville de Haute Provence, une suite de crimes inexplicables se produit. Quels mobiles inspirent le meurtrier ? Les rares indices égarent plus qu'ils n'éclairent le commissaire Laviolette et le juge Chabrand. Les trois premières victimes, trois jeunes gens mordus de bicyclette, ont été tués d'un coup de galet à la tempe...
Jacky et Marcelle, déjà veuves depuis plusieurs années, consolent Rose dont le mari vient de mourir dans les toilettes: il a reçu la chasse d'eau sur la tête. Toutes les trois forment le clan des veuves et se racontent, par de piquantes confidences, leur vie de couple passée. Rose apprend bientôt l'existence de Mireille, la maîtresse de son défunt mari, et de ses deux filles Jeanne et Jeanine. Tout ce petit monde vient évidemment réclamer sa part d'héritage. Rose va de surprise en surprise, soutenue avec humour par ses deux amies, jusqu'à la scène finale où on sonne à la porte: un petit garçon (voix off) rapporte une paire de gants trouvée dans la rue , Rose lui demande son nom, il s'appelle Jacques Stehlman, comme son défunt mari!
Sur le point d'être exécutée, la belle Shéhérazade raconte son histoire aux jeunes fils du bourreau. Dans ce récit, elle croise les différents personnages des 1 001 Nuits dont le Génie, exilé dans un Londres moderne...
Suite au décès du président d'un État fictif, le procureur Henri Volney, qui s'est penché sur ce décès, refuse les conclusions de l'enquête. Il parvient à interroger un témoin qui lui dévoile la part d'ombre de cette histoire, mais les auteurs du meurtre ne souhaitent pas qu'il découvre la vérité.
Le roi Charles V et Trois font Huit et Huit font Seize règne en tyran sur le royaume de Takicardie. Seul un oiseau, enjoué et bavard, qui a construit son nid en haut du gigantesque palais, tout près des appartements secrets de Sa Majesté, ose le narguer. Le roi aime les arts, tout particulièrement une jolie bergère qui figure auprès d’un jeune ramoneur sur un tableau qui orne sa chambre royale. Ils sont épris l’un de l’autre et ils doivent s’enfuir pour échapper au roi, qui les poursuit accompagné de ses sbires moustachus. Après une folle poursuite, avec l’aide de l’oiseau, la bergère et le ramoneur se réfugient dans la ville basse où ils sont finalement capturés.
Bruno Calgani rentre en France après avoir passé 5 ans dans un pénitencier américain pour usage et trafic de drogue. Il souhaite effacer son passé, mais ne cesse de penser à sa mère morte durant sa détention. Il décide de revoir son père ouvrier de chantier mais celui-ci n'est pas très accueillant.
À une époque indéterminée, dans le Sud de la France, Emmanuel, maire d’un petit village et propriétaire du château de Malevil, se rend dans sa cave afin de lire tranquillement une lettre de son fils parti en Australie. Il est alors interrompu par quelques concitoyens accompagnés du pharmacien et du vétérinaire, qui souhaitent lui soumettre un problème d'aménagement local. Sont également présents : Momo, un jeune homme un peu attardé, et La Menou, sa mère, servante du domaine. Soudain, une terrible et bruyante déflagration les projette tous à terre, détruisant une bonne partie du cellier d’Emmanuel. Une chaleur insupportable s'abat alors sur les lieux. Tout ce remue-ménage cesse curieusement quelques minutes plus tard. Les rescapés restés longtemps sans rien dire commencent à émerger et se décident à sortir pour constater l’étendue des dégâts. Dehors, tout n’est que ruines et désolation...
Marie-Louise (Marie-Christine Barrault) et Gauthier (Pierre Mondy) Leroux qui vivent à Bourg en Bresse (Ain) avec leurs deux enfants héritent d'un hôtel, au 65 rue Madame, Paris 6ème. Il appartenait à la grand tante de Marie-Louise, surnommée "La Buque" (Ginette Leclerc). Elle était une ancienne prostituée qui acheta cet hôtel avec ses économies et en fit un lieu chaleureux à l'esprit familial. Sa disparition accidentelle, ainsi que celle de Philippe, son compagnon, sèment le désarroi et la désolation parmi le personnel et les pensionnaires. Tandis qu'une enquête est menée pour déterminer les causes de l'accident, Marie Louise Leroux se rend seule à Paris pour liquider l'hôtel. Elle s'y installe et en assure la direction, le temps de la vente à venir. Très vite, elle découvre une nouvelle vie et s'attache à l'hôtel, qu'elle refuse de fermer...
En pleine Turquie dictatoriale, cinq détenus obtiennent une permission exceptionnelle de huit jours. Ils regagnent leurs familles respectives avec l'espoir de reprendre le cours de leur vie, mais constatent avec amertume que la liberté est relative dans ce pays où l'armée persécute les Kurdes et où la population maintient des traditions patriarcales d'un autre âge.
Cette série met en scène les enquêtes du célèbre commissaire Maigret imaginé par Georges Simenon. Elle apporte un soin particulier à la reconstitution d'une ambiance années 1950 : costumes, voitures, trains à vapeur et jusqu'au mobilier (téléphones, standardistes entre autres).
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